92 Boulevard Malesherbes
75008 Paris
Notre corps s'adapte au déficit calorique en dépensant moins d'énergie.
Nous avons faim en permanence.
Nous devenons rapidement irritable, déprimé et fatigué.
Et comme nul ne peut supporter longtemps une sensation de faim permanente, nous sommes obligés de recommencer à manger comme par le passé.
Au contraire, lorsque nous limitons la consommation des sucres adipogènes, c'est-à-dire les aliments fabriqués à partir de farine raffinée (pain, céréales et pâtes), les aliments glucidiques liquides (bière, jus de fruits et sodas) et les aliments riches en amidon (pommes de terre, riz, maïs), nous n'avons pas besoin de réduire volontairement la quantité de ce que nous mangeons, c'est même déconseillé. Nous pouvons manger librement des graisses et des protéines et les sucres non adipogènes (fruits, légumes), ce qui nous évite d'avoir faim, de manquer d'énergie et de mettre en péril notre santé.
Réduire les glucides adipogènes contribue :
Conséquence pratique : le carburant (=glucose) n'est plus détourné vers le tissu adipeux où il s'accumulait sans pouvoir être exploité, et ainsi le corps dispose de davantage d'énergie à brûler.
L'équilibre entre l'énergie consommée (sensation de faim normalisée) et celle dépensée (récupération de tonus pour l'activité physique) est restauré.
L'objectif est de supprimer la cause de l'excès d'adiposité et de laisser ensuite le corps retrouver son équilibre naturel entre besoins énergétiques et capacité à utiliser cette énergie.
Il est donc indispensable de restaurer :