Exemple de Cellulite circulatoire capillaire
Le cas de Catherine C.


Catherine C. n’aime pas le froid. Depuis sa petite enfance, mais surtout depuis la puberté, ses mains et ses pieds s’engourdissent dès que la température baisse, au point d’elle redoute l’hiver, d’aller à la montagne, tant elle a du mal à lutter contre le froid.

 

Enfant, elle avait même des engelures au bout de doigts; elle tient cela de son père, aujourd’hui agé de 55 ans, dont le visage est toujours très rouge. Il doit être également soigné pour des troubles circulatoires rétiniens.

 

Depuis l’adolescence, elle grossit régulièrement des cuisses et, depuis sa grossesse, des bras. Elle pèse 55 kg, soit 4 kg de plus qu’à 20 ans.

 

Ses membres sont forts et infiltrés de cellulite et sont marbrés d’un rouge sombre qui tourne au violet au niveau des orteils et des doigts.

 

Sur ses joues, on peut observer une discrète couperose, et sur ses cuisses des télangiectasies, c'est-à-dire, de tous petits vaisseaux rouges ou violets, surtout au niveau des genoux sur la face interne et externe des cuisses.

 

Catherine a une mauvaise circulation capillaire : son traitement, pour être efficace, devra être poursuivi à vie (dilatation des vaisseaux capillaires, simulation de la lipolyse).

 

Elle pourra interrompre son traitement pendant les périodes chaudes de l’année (périodes en général où elle se sent très bien) mais elle le reprendra dès le retour du froid.

 

Elle pourra compléter utilement par des massages doux à l’aide de pommades à l’héparine et aux plantes vaso-dilatatrices comme le mélilot ou le centella asiatica.

 

Enfin, elle ne négligera pas l’action physique bénéfique de l’eau chaude, en pratiquant régulièrement des bains ou douches d’eau chaude, alternés avec des bains ou douches d’eau froide, en terminant toujours par l’eau chaude.

 

Cellulite capillaire